Portraits

Portrait - Maxime, la force de l’équilibre

Mis à jour le 01/05/2024

Maxime Vaillaut

Maxime Vaillaut, marié, 40 ans, est artisan plombier chauffagiste à Is-sur-Tille (21). Depuis 2002, il dirige avec sa mère et son frère l’entreprise Chauffage Sanitaire Issois, créée par son père en 1979.

« Je m’occupe des chantiers et de la gestion de l’entreprise, mon frère gère le service après-vente, et ma mère la partie administrative », précise-t-il. A la tête d’une société prospère, ils embauchent 13 à 15 salariés à l’année pour réaliser des travaux de carrelage, de climatisation, de chauffage, de plomberie, de dépannage, etc. « Nous proposons, entre autres, des salles de bain clés en main. Nous avons une personne à temps plein qui modélise des plans pour permettre au client de visualiser le résultat. Nous sommes une bonne équipe, ça se passe bien. » 
La réputation de l’entreprise n’est plus à faire dans la région, la communication se fait essentiellement par le bouche à oreille. « Nous offrons un travail de qualité, avec des ouvriers qualifiés et compétents, et des bons matériaux. Nous consacrons tout le temps nécessaire à la bonne réalisation des travaux, c’est aussi pour ça qu’on nous appelle. »
 

Son temps, Maxime le consacre aussi à la passion qu’il partage avec son frère depuis 20 ans maintenant : le moto-cross. Tous les deux participent à des compétitions régionales et nationales, même si « c’est vraiment pour le plaisir et se détendre le week-end ». Ils participent aussi à l’organisation de courses en tant que président et vice-président du Club de moto-cross d'Is-sur-Tille.
Ces moments de décompression sont importants pour attaquer des semaines bien remplies, auxquelles Maxime ajoute ses responsabilités au sein de la CASEC et de l’ORCAB. « Je suis entré au conseil d’administration de la CASEC l’année de sa création, en 2011. On m’a présenté le monde coopératif, et j’ai tout de suite adhéré au principe. J’en suis maintenant le président depuis 2020, raconte-t-il. J’ai beaucoup appris. […] Quand on m’a proposé d’intégrer l’ORCAB, j’ai accepté pour comprendre son fonctionnement, apporter mes idées et représenter les coopératives de l’Est. C’est un conseil d’administration équilibré, de par la diversité des situations géographiques, des tailles et des familles de métiers des coopératives représentées. Nous sommes une bonne équipe, ça va bosser ! »